Selon l’ASTM, la fabrication additive est un « procédé qui permet d’assembler des matériaux à partir de modèles 3D, habituellement couche après couche et ceci en opposition avec la fabrication soustractive, telle que l’usinage et le découpage ».
La fabrication additive permet donc de produire des pièces en produisant moins de perte de matériel tout en limitant le nombre d’étapes de production. En effet, les pièces construites par fabrication additive n’ont pas besoin d’être usinées à partir d’un bloc massif, il n’y a pas de masselottes à enlever et il n’est pas nécessaire de mettre en forme plusieurs préformes pour obtenir le résultat final. Habituellement, seulement un usinage final est nécessaire pour obtenir le fini de surface désiré.
Pour supporter l’industrie dans les problématiques de durabilité environnementale qui affectent leurs matériaux et produits tout au long de leur cycle de vie, le CMQ dispose d’un ensemble d’équipements et d’expertise dédiés à l’évaluation de la corrosion. En travaillant pour aider les industriels à limiter les risques futurs ou la dégradation de leurs actifs, l’évaluation de la corrosion au CMQ se fait par des essais respectant les différentes normes en vigueur ASTM, ISO, NACE et d’autres, mais également par la conception d’essais sur mesure pour simuler les conditions de service ou l’implantation de méthodes d’inspection et de suivi de la dégradation dans le temps.
En plus des essais mentionnés pour les différents équipements, le CMQ peut mettre sur pieds un essai sur mesure pour vos besoin. Par exemple, la corrosion intergranulaire qui est une forme de corrosion pour laquelle la dégradation se propage selon les joints de grains du métal en contact avec un milieu corrosif. L’évaluation de ce type de corrosion est effectuée selon les normes en vigueur (ex. ASTM A262, ASTM G110 et ASTM G67)